Replication dans Windows Server 2016 TP5
Windows Server 2016 intègre la capacité de répliquer les données entre les serveurs Windows au niveau bloc et dont le principal avantage réside dans le fait que la nouvelle technologie est totalement indépendante des solutions de stockage sous-jacentes et qu’il est donc possible de répliquer n’importe quel stockage pour peu qu’il soit relié à un serveur faisant fonctionner Windows Server. La réplication s’appuie sur le protocole SMB 3.0 (Server Message Block) e permet la réplication en mode synchrone ou asynchrone.
ReFS version 2 – nouvelle génération de File System
La version 2 du File System Resilient (ReFS) introduit depuis Windows Server 2016 TP4 n’est pas forcément plus rapide que NTFS (pour le moment, nous ne sommes qu’en Technical Preview) mais introduit un fonction de Block Cloning qui est optimisé pour les charges de travail virtualisées. Et encore, pour parler de vitesse, créer un VDHx de 127 Go prends 13 minutes environ sur NTFS alors que ReFS aura terminé sa création à la fin de l’assitant, dû à la création de métadonnées uniquement. Vous pouvez utiliser Diskspd pour faire quelques tests sur le sujet 🙂 Quoiqu’il en soit, voyons les améliorations de cette version.
Bonnes pratiques d’une PKI ADCS
Voici quelques bonnes pratiques pour déployer une infrastructure de clés publiques, autrement appelé Active Directory Certificates Services. Tour d’horizon…
Déployer Azure Stack sur une configuration modeste
Microsoft Azure Stack est un nouveau produit de plateforme cloud hybride de Microsoft vous permettant de créer des services Azure dans votre propre Datacenter. Produit actuellement disponible pour réaliser des PoC, les prérequis sont énormes, débutant à 96 Go de mémoire et un CPU de 12 coeurs mais Microsoft préconise plutôt 128 Go de RAM et 16 coeurs. Diantre ! Voici quelques astuces pour réussir malgré tout à monter un PoC sur une configuration modeste. Je recommande 32 Go de mémoire mais aussi d’installer le PoC sur un/des SSDs.
Déployer Azure RMS pour DAC
Nous avons vu dans un billet précédent le mise en oeuvre d’une protection de données (type DRM) à partir de l’architecture présente sur site de l’entreprise (On – Premise). Dans ce billet, nous allons aborder la fonction disponible sur la plateforme Azure . Ce système permet de répondre à de nouvelles exigences :
- Pouvoir accéder aux documents hors bureaux tout en proposant une couche de sécurité
- Permettre aux utilisateurs d’ouvrir des documents avec du matériel personnel au travail
- Appliquer une sécurité directement et instantanément aux documents
- Prise en charge des applications suite Office
Déployer AD RMS pour DAC
Nous avons vu dans un précédent article comment déployer DAC, je vous propose ici de renforcer la sécurisation de vos données en couplant DAC avec les services Rights Management Services.
Le rôle Active Directory Right Management Services est une fonctionnalité qui propose une sécurité supplémentaire pour les documents d’une entreprise. Elle permet de sécuriser les documents en proposant un chiffrage mais aussi d’attacher des DRM à ces derniers.
Mise en oeuvre de Dynamic Access Control
- Identifier des données grâce à une classification automatique et manuelle des fichiers. Par exemple, vous pouvez baliser des données sur des serveurs de fichiers dans toute l’organisation.
- Contrôler l’accès aux fichiers en appliquant des stratégies sécurisées qui utilisent des stratégies d’accès centralisées. Vous pouvez notamment définir qui a accès aux informations d’intégrité au sein de l’organisation.
- Contrôler par audit l’accès aux fichiers à l’aide de stratégies d’audit centralisées pour établir des rapports de conformité et mener des analyses d’investigation. Vous pouvez par exemple identifier les personnes qui ont accès à des informations hautement confidentielles.
- Appliquez la technologie de protection RMS (Rights Management Services) avec un chiffrement RMS automatique des documents Microsoft Office confidentiels. Par exemple, vous pouvez configurer RMS afin de chiffrer tous les documents qui contiennent des informations issues d’organismes de la santé et de l’assurance maladie.
Bref, DAC c’est la nouvelle gourvernance à déployer pour protéger vos données. Voyons comment cela fonctionne de plus près…
Désactiver l’Autoconfiguration IPv4
Il se peut que votre OS active l’autoconfiguration IPv4, ce qu’il m’est arrivé, et du coup plus d’accès au réseau. Assez étrange je vous l’accorde.
Auditer vos serveurs de fichiers
Une question taraude beaucoup de DSI à ce jour, comment garder une trace des différentes modifications telles que la lecture, l’écriture, le partage, la création, le renommage, la suppression, le déplacement, etc. des fichiers, des dossiers, des autorisations et des ressources partagées ?
J’ai testé une solution qui permet de répondre à cette question.
DirSync et l’erreur 1603
Lors d’un déploiement de l’outil DirSync en mode /fullSQL, c’est à dire en utilisant une base de données autre que celle qui s’installer par défaut par l’outil (mode OnlineCoexistence), vous pourrez certainement rencontrer l’erreur 1603: Install-OnlineCoexistenceTool : The Synchronization Engine installation returne error code 1603. Please try the installation again, and if this error persists, contact Technical Support.
APP-V 5.0 SP1 et l’erreur 0x801901F4
Attention lors de vos déploiement sur les OS les plus récent de Microsoft. En effet, le serveur App-V n’est disponible pour le moment qu’en version 5.0 SP1 tandis que le client est disponible en version 5.0 SP2… Ce qui pose problème…
Session Techdays
Configuration du cache CSV
Cluster Shared Volumes (CSV) Cache est une fonctionnalité, introduite depuis Windows Server 2012, permettant d’allouer de la mémoire vive en tant que cache de type write-through uniquement sur les I/O non bufferisées en lecture seule, et ce en mode bloc. Ces I/O non bufferisées sont celles qui ne sont pas prises en compte par Windows Cache Manager. L’intérêt est d’accélérer les applications comme Hyper-V. Voyons comme l’utiliser…